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Comment financer sa formation professionnelle aujourd’hui ? des pistes à explorer

 Comment financer sa formation professionnelle aujourd’hui ? des pistes à explorer

Pour renforcer ses compétences ou pour envisager une reconversion professionnelle, la formation continue s’impose comme un passage obligé. Pour les salariés comme pour les entreprises, la question du coût se pose à un moment ou à un autre, mais elle ne doit pas freiner les projets professionnels des uns et des autres.

 

La formation professionnelle, une passerelle pour optimiser ses compétences numériques et digitales

Si la formation professionnelle permet de se former à tous les secteurs d’activité et à toutes les fonctions au sein de l’entreprise, elle représente aussi l’opportunité de gagner en compétences en matière d’informatique, de numérique et de Digital. Force est de constater, que la transformation numérique de nos sociétés a entrainé des exigences de plus en plus fortes et de plus en plus spécifiques de la part de tous les acteurs économiques. Les entreprises ont besoin de collaborateurs, qui pourront les accompagner dans cette transformation et au cours de leurs projets. Il n’est pas étonnant, dans ces conditions, que les formations numériques aient été choisies parmi les axes prioritaires à renforcer par le gouvernement pour aider à gagner en compétitivité.

De la formation numérique (Microsoft 365, cours d’analyse et de restitution, …) aux formations bureautiques pour maitriser les outils digitaux du quotidien (Word, Excel, …), les besoins et les attentes sont aussi nombreux que variés. Depuis plus de 20 ans, l’Institut de formation F2I répond à toutes ces demandes, et accompagne entreprises et salariés dans leur quête d’une efficacité renforcée.

 

Financer les formations professionnelles, la garantie d’une plus grande sérénité

Longues ou courtes, à distance avec le e-learning, en présentiel, ou en mixant les deux avec le Blended learning, Intra ou Inter-entreprise, … ces formations continues représentent un coût, qui ne doit pas être un obstacle à la concrétisation d’un projet professionnel, quel qu’il soit.

Se substituant au plan de formation depuis le 1er janvier 2019, le plan de développement des compétences concrétise cette ambition du côté de l’entreprise. L’entreprise décide alors d’une stratégie pour permettre à ses collaborateurs (c’et l’entreprise qui définit les modalités de la formation et les collaborateurs qui y seront éligibles) de gagner en compétences. De la VAE (Validation des Acquis de l’expérience) à la formation pour apprendre le développement d’applications Web Java, l’employeur est responsable de ses choix et s’inscrit ainsi dans la recherche d’une amélioration de son efficacité et donc de sa productivité.

Mais, le salarié peut aussi être à l’initiative du choix de la formation qu’il souhaite suivre. Il pourra sécuriser son parcours professionnel en se perfectionnant dans l’utilisation de Word, mais il pourra également décider d’initier une reconversion professionnelle. Changer de métier pourra nécessiter de se former à de nouvelles techniques, à de nouveaux outils et/ou impliquer l’obtention d’un diplôme ou encore d’une certification, comme la certification TOSA pour tout ce qui concerne les compétences informatiques professionnelles.  Dans tous les cas, le salarié pourra financer tout ou partie du coût de cette formation continue grâce aux droits acquis sur son Compte Personnel de Formation (CPF). Lorsque cela concerne une reconversion ou une ambition de changer de métier, d’autres opportunités pourront même se faire jour en mobilisant le CPF de transition.

 

Favoriser la formation professionnelle, un enjeu pour la relance de l’économie

Après avoir traversé une crise sanitaire inédite, les autorités publiques ont pris pleinement conscience de l’importance de la formation continue en général et de la formation bureautique et informatique en particulier. Aussi, le plan de relance, dévoilé par le gouvernement, incite les salariés, impactés par des mesures de chômage partiel, à se former. Cette aide à la formation continue cible les secteurs prioritaires, et le numérique en fait officiellement partie. C’est donc l’occasion pour un grand nombre de salariés de pouvoir décider de se former à cette digitalisation de notre économie, occasion rendue plus aisée avec la possibilité accordée aux entreprises d’abonder le CPF de leurs collaborateurs.

 

Et vous, profitez-vous (ou avez-vous déjà profité de cette occasion) pour vous inscrire dans une démarche de formation continue ?